Le rideau s’ouvre : Messieurs les Banquiers, son Altesse le président de la République française, Monsieur le Premier ministre, Monsieur le Gouverneur de la Banque centrale et le petit peuple des conseillers de la Cour.
La pièce peut commencer : lessivés par la crise des désormais célèbres « subpraïmes » (sic), les Banquiers s’apprêtent à sonner à la porte de l’État pour lui demander de mettre la main au porte-monnaie…
Une comédie lue par 7 comédiens-militants du Théâtre des Rues de Cuesmes, et suscitera des rires grinçants, « des rires pour ne pas pleurer »…